Salomon Yves Cohen

Tous les articles de cet auteur

Dépôts de matériel sous-rétiniens : les étiologies à rechercher

Les dépôts de matériel sous-rétiniens autofluorescents (SAD) peuvent être présents dans de nombreuses pathologies. Plusieurs mécanismes physiopathogéniques sont impliqués dans leur survenue, expliquant la grande diversité de pathologies associées. Aussi le diagnostic étiologique peut-il être parfois difficile. La localisation et l’aspect de ces dépôts, ainsi que leur mode de survenue, aigu ou chronique, sont autant d’éléments qui vont aider à orienter le diagnostic. Lire la suite

Psychologie du patient DMLA

La DMLA est une maladie chronique, favorisée par le vieillissement. Comme toutes les autres maladies dégénératives, elle peut être très mal acceptée par le patient. Ce, d’autant plus, que la perception du vieillissement a beaucoup changé avec le temps, les patients « âgés » d’aujourd’hui ne sont plus les mêmes qu’autrefois. Lire la suite

Anti-VEGF et DMLA exsudative : mise à jour

Le VEGF est un acteur essentiel dans la physiopathologie de la DMLA exsudative. Cet article rapporte les données cliniques des molécules anti-VEGF ayant obtenu une autorisation de mise sur le marché européen et leur remboursement dans cette indication, ainsi que les résultats des études de « vie réelle » et les différents schémas thérapeutiques, avec une indication des nouvelles molécules en cours d'étude. Lire la suite

Importance des délais de traitement dans la DMLA exsudative : le temps, c'est de la vision !

    Plusieurs études se sont intéressées aux conséquences, en termes d'acuité visuelle, de l'allongement du délai entre le diagnostic d'une lésion exsudative et la réalisation effective de l'injection intravitréenne d'anti-VEGF. Les conclusions sont claires : il faut agir vite !     Lire la suite

VEGF-trap : qu'en attendre?

Une nouvelle molécule pour le traitement de la DMLA exsudative devrait être commercialisée prochainement : le VEGF Trap-Eye ou aflibercept, commercialisé par le laboratoire Bayer. Les études ont permis de montrer la non-infériorité de l'aflibercept administré à 2 mg tous les 2 mois par rapport au ranimizumab (0,5 mg toutes les 4 semaines) et une tolérance comparable entre les deux molécules. Lire la suite

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Etablissement : Centre d’imagerie et de laser, Paris

Profession : Ophtalmologiste